Assise sur une chaise dans le salon, les yeux bandés, le mains attachées dans le dos, les chevilles liées aux pieds de la chaise, ma soumise se retrouvait dans une posture inattendue, en attente d'une chose dont elle ignorait totalement le dénouement. Je lui faisait expressément sentir ma présence, proche d'elle, ce qui, en temps normal la rassurait, mais je sentais que ce ne fut pas le cas à cet instant. Au contraire, nos sentiments respectifs furent partagés. J'avais une sensation de puissance et de contrôle, alors qu'elle se sentait faible, sans aucune défense.
Mon instinct sadique prit le dessus lorsque je pris un malin plaisir à lui faire ressentir le pouvoir que je disposais à cet instant, et en abusant sans vergogne. Je me suis lentement rapproché d'elle, lui demandant avec une voix suave et sèche à la fois si elle se sentait craintive et si elle avait réellement conscience qu'à cet instant je pouvais faire et obtenir tout ce que je voulais d'elle. Avant même qu'elle est eut le temps de me répondre, la sonnerie de mon appartement retentissait, faisant de ce fait sursauter ma soumise. Dans cette position de faiblesse, sans défense, elle semblait apeurée de l’incursion d'une nouvelle personne inconnue dans l'appartement.
Je fis alors entrer cet invité mystérieux à qui j'avais expressément demandé de me rejoindre à mon apparentement à cette heure précise.
Surprise, ma soumise entendit les bruit des talons aiguille sur la parquet du salon, c'est alors qu'elle prrit conscience que cet invité fut une femme.
Alors qu'un silence pesant inondait la pièce, Carole, ma soumise entendait les pas de cette femme s'approcher lentement d'elle.
Sans dire le moindre mot, Amandine, ma mystérieuse invitée commençât à lentement caresser le visage ainsi que les lèvre de ma soumise. Offerte et apeurée, elle restait sans silencieuse, sans bouger, sans doute pensive et tétanisée par cette situation dont elle ne disposait d’aucun contrôle.
Mon invitée contemplât cette offrande qu'elle savait offerte à ses désirs. Elle se mit accroupie devant ma soumise, caressant l'intérieur de ses cuisses avec le bout de ses doigts avant de la griffer soudainement, ce qui fut qu' augmenter la crainte de ma soumise, et dans le même temps son l'excitation.
C'est à ce moment là que mon invitée et moi décidions de prendre un verre de champagne sur le divan, en silence, laissant ainsi ma soumise seule, faisant en sorte que les pensées les plus sadiques prennent place dans son esprit.