Nous commencions par une longue séance de massage tantrique, durant lequel j'avais la volonté de me montrer attentif aux moindres réactions de son corps. Je pris un malin plaisir à scruter
scrupuleusement ses soupires qui, je l'espérais pourraient me conduire, voir m'alerter de la présence de l'une de ses zones sensibles, que j'espérais inexploitées.
Ses yeux étaient bandés, je voulais faire appel qu'à ses sens, utilisant le simple son de ma voix pour lui laisser soupçonner mes
déplacements.
Mon objectif, dans un premier temps, fut de stimuler ses zones sensibles, érogènes, jusqu'à la l’extrême limite de la jouissance, prenant bien soin de ne pas lui offrir ce qu'elle souhaitait.
Ce jeudiabolique continua pendant un long moment, allant même jusqu'à la faire me supplier de la libérer; mais ce ne fut en aucun cas mon intérêt. J'en voulais plus, je voulais sentir que je
possédais son esprit, avant de, peut-être libérer son désir.
Je laissais ma main, mes doigts parcourir son corps, offert à mes désirs et caprices aussi imprévisibles que cruel.
Je pris un plaisir sadique à jouer avec les réactions de son corps, et abusais sans vergogne de cette offrande qui devenait progressivement mienne.
Je voyais son corps se contracter à chaque pressions de mes doigts sur l'une de ses zones sensible, pour ensuite se relâcher brutalement, poussant dans le même temps de longs soupires crispant qui laissait deviner un mélange d'excitation et douleur jouissive, qui la libérait de ma douce et sensuelle cruauté.