Pour prétendre toucher une femme, il faut d'abord caresser son âme, effleurer son esprit et embrasser ses désirs.
Pour prétendre toucher une femme, il faut d'abord caresser son âme, effleurer son esprit et embrasser ses désirs.
Protéger sa soumise comme si l'on protégeait un joyau d'une valeur inestimable. De cette façon, le joyau voudrat briller aux yeux de son Maître, ce qui ne fera qu'enjoliver leur amour.
Le lâcher-prise mène à des chemins remplis de branches fragiles, sur lesquelles l'on n'est pas sûr de pouvoir s'y appuyer. On ne sait si l'on doit le traverser, par crainte de trébucher dans un fossé qui pourrait nous perdre à jamais, prisonnier de nos dévastatrices pensées.
Grande est la tentation de se laisser emporter par un vent d'incertitude qui mènerait aux portes de sentiers inconnus, inexploités par soi-même comme tout être. Se débarrasser de ces peurs, tel un vêtement que l'on arracherait pour libérer de règles enchaînée aux principes, et plonger sans retenu dans un océan de bien-être et d'apaisement.
Dans une complicité symphonique, le Maître et sa soumise accordent leurs mélodies; Jouent ensembles une partition de notes silencieuses, qui résonent à travers leur majestueux amour.
Il n'est pas toujours utile d'utiliser la force. Les meilleurs eux, ne n'utilisent jamais. Quand à la douceur, elle est bien plus puissante, parfois même dévastatrice lorsqu'elle est mal utilisée.