La soumission d'un être est un cadeau pour lequel on se doit de lui montrer toute notre considération. 

Beaucoup de pseudos Maîtres ont tendance à négliger cela, préférant assouvir leurs pulsions sexuelles ou vomir leur frustration envers les femmes. A ces messieurs, je tiens à leur inculquer la première règle fondamentale : Pour avoir ce style de vie, cette philosophie, il est d'abord nécessaire d'aimer les femmes, puis, d'avantage celle qui vous offre sa soumission pour prétendre être un homme, avant d'être un Maître .

Il en va de même pour celles qui se font appeler, ou se proclament "Maîtresses". Elle ne sont ni plus ni moins que de simples êtres vulgaires, caractérielles, haineuses, se faisant, sans vergogne, payer leur « prestation » afin qu'un homme assouvisse ses désirs. Dans le dictionnaire, cela porte un autre nom que celui de "Maîtresse". 

Tout ceci est insultant pour mes homologues, véritables Maîtresses et Maîtres dignes de ce nom.

Le plaisir d'aimer sans l'oser le démontrer à ses peines, bouleversées dans un ouragan d’incertitudes, qui éclairent les mélancoliques et audacieuses pensées. L'on s'étudie, on s’épie à chaque instant pour trouver le moyen de se découvrir, de se séduire, essayant de manière subtiles et audacieuses d’attirer l’attention sur l'être désiré. On se cherche du regard, qui se détournent lorsqu'il se trouvent enfin. Les yeux s'allument et éblouissent ces attrayants petits détails qui parviennent peu à peu à faire fondre les cœurs les plus résistants.

On voudrait avoir cent langues pour faire connaître son désir, brûlant; mais comme on ne peut se servir de la parole, glacée par l'autre, on est obligé de se réduire à l'éloquence d'action.